Stimuler l’Innovation en France : Cultiver la Créativité et Favoriser la Collaboration

L’innovation joue un rôle crucial dans le développement économique, social et technologique d’un pays. Pour stimuler l’innovation en France, il est essentiel de mettre en place des stratégies qui encouragent la créativité, soutiennent la recherche et développement, favorisent l’esprit d’entreprise et promeuvent la collaboration entre les entreprises, les institutions académiques et la société civile. Cet essai explore les diverses approches et les principes clés pour stimuler l’innovation en France, en mettant en évidence l’importance de l’éducation, de la recherche, de la flexibilité et de la promotion de l’entrepreneuriat.

L’éducation joue un rôle fondamental dans la stimulation de l’innovation. En encourageant les approches pédagogiques axées sur la résolution de problèmes, la créativité et la pensée critique, les écoles et les universités peuvent former une nouvelle génération de citoyens capables de relever les défis avec des solutions innovantes. Les programmes éducatifs centrés sur les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STEM) favorisent également la créativité et la capacité à innover.

La recherche et développement (R&D) sont des moteurs essentiels de l’innovation. Investir dans la R&D, que ce soit dans les domaines de la technologie, de la santé, de l’énergie ou de l’environnement, crée un environnement propice à la découverte de nouvelles idées et à l’élaboration de solutions novatrices. Les partenariats entre les entreprises, les universités et les instituts de recherche stimulent l’échange de connaissances et la coopération.

Favoriser l’esprit d’entreprise est crucial pour stimuler l’innovation en France. Encourager les individus à créer leurs propres entreprises, à développer des produits et des services innovants et à prendre des risques favorise la culture de l’innovation. La création d’incubateurs, d’accélérateurs et d’espaces de coworking offre un soutien précieux aux entrepreneurs en herbe.

Promouvoir la collaboration entre les entreprises, les universités, les instituts de recherche et la société civile est essentiel pour stimuler l’innovation. La mise en réseau, le partage d’expertise et la création d’écosystèmes d’innovation favorisent le transfert de connaissances et l’émergence de nouvelles idées. Les clusters d’innovation et les initiatives de partenariat public-privé encouragent la collaboration entre différents acteurs.

La flexibilité réglementaire et administrative joue un rôle clé dans la stimulation de l’innovation. En créant un environnement propice à l’expérimentation et à l’adoption rapide de nouvelles technologies, la France peut encourager les entreprises à innover et à développer de nouveaux produits et services.

En conclusion, stimuler l’innovation en France nécessite une approche globale qui englobe l’éducation, la recherche, l’entrepreneuriat et la collaboration. En favorisant la créativité, en investissant dans la R&D, en soutenant les entrepreneurs et en créant un environnement favorable à l’innovation, la France peut renforcer sa compétitivité, relever les défis actuels et créer un avenir plus innovant et prospère.

Les avions de chasse français : Une histoire d’innovation

Les avions de combat français ont joué un rôle important dans l’histoire de l’aviation, en s’appuyant sur une longue et illustre lignée qui s’étend de la Première Guerre mondiale à nos jours. Au fil des ans, ces avions ont fait preuve d’une innovation étonnante, montrant à la fois leurs forces et leurs faiblesses face à leurs homologues inconnus. Cet article a pour but d’explorer les progrès des avions de combat français, en soulignant les innovations cruciales, en analysant leurs points forts et leurs points faibles, et en fournissant une analyse comparative avec leurs adversaires étrangers.

Au cours de la Première Guerre mondiale, la France a créé plusieurs avions de chasse bien connus. L’un d’entre eux, le Nieuport 17, est connu pour sa manœuvrabilité et sa vitesse exceptionnelles. Sa conception impressionnante incluait une configuration en sesquiplane, ce qui améliorait ses performances dans les combats aériens. Néanmoins, le Nieuport 17 ne dispose que d’un armement et d’une durabilité limités par rapport à ses adversaires.

L’entre-deux-guerres a vu l’émergence d’avions de chasse français emblématiques tels que le Dewoitine D.520 et le Morane-Saulnier M.S.406. Le Dewoitine D.520 présentait des caractéristiques innovantes telles qu’un train d’atterrissage rétractable, un cockpit fermé et un moteur très efficace, ce qui en faisait un adversaire redoutable. Malgré cela, il fut introduit tardivement au cours de la Seconde Guerre mondiale, ce qui réduisit son influence. Le Morane-Saulnier M.S.406, bien que technologiquement sophistiqué pour l’époque, s’est battu contre le Messerschmitt Bf 109 allemand, plus performant, en raison de sa vitesse et de son armement inférieurs.

Après la Seconde Guerre mondiale, les avions de chasse français ont fait des progrès significatifs. Le Dassault Ouragan, premier chasseur à réaction français, introduit après la guerre, présentait des ailes en flèche et dépassait la vitesse du son. Il s’est admirablement comporté pendant les phases initiales de la guerre froide. Par la suite, la collection Dassault Mystère, comprenant le Mystère IV et le Mystère 20, a fait évoluer la vitesse et les capacités de combat. Ces avions sont réputés pour leur polyvalence et leurs prouesses aériennes.

La série des Mirage, avions de combat , a changé la donne pour l’industrie aéronautique française. Le Mirage III, introduit à la fin des années 1950, a établi de nouvelles normes avec son aile delta, son avionique avancée et sa vitesse supersonique. Ses capacités radar et ses missiles oxygène-atmosphère lui confèrent un avantage significatif lors des affrontements. Le Mirage F1, développé dans les années 1960, a encore renforcé la réputation de la France en matière de production d’avions de combat exceptionnels. Il a fait preuve d’un meilleur réseau, d’une plus grande capacité d’emport et d’une meilleure résistance aux intempéries.

Le Rafale de Dassault, l’avion de combat multirôle le plus avancé de France, représente l’apogée de la technologie aéronautique française. Sa conception révolutionnaire, qui ajoute des caractéristiques de furtivité, des condes de vol électriques et une avionique sophistiquée, garantit une efficacité supérieure dans les missions air-air et atmosphère-terrain. Les points forts du Rafale résident dans sa capacité à disposer d’un large éventail d’armes, d’une manœuvrabilité exceptionnelle et de systèmes innovants de combinaison de capteurs. Malgré cela, son coût élevé et la concurrence des avions de combat étrangers ont posé des problèmes sur les marchés d’exportation.

Lorsque l’on compare les avions de combat français à leurs concurrents étrangers, de nombreux facteurs entrent en ligne de compte. Les avions français ont souvent excellé en termes de maniabilité, de polyvalence et d’avionique avancée. La série des Mirage, en particulier, a acquis une réputation mondiale pour ses performances exceptionnelles. Malgré cela, les chasseurs français ont parfois été à la traîne en termes de vélocité, de capacités à long rayon d’action et de rentabilité par rapport à leurs homologues américains et russes.

La progression des avions de combat français depuis la Première Guerre mondiale jusqu’à aujourd’hui témoigne de développements technologiques et d’efforts remarquables dans l’histoire de l’aviation. Malgré les difficultés et les restrictions rencontrées à de nombreux stades, les avions français ont toujours fait preuve d’innovation, de manœuvrabilité et d’une avionique avancée. Le développement du Rafale de Dassault a consolidé la position de la France en tant que leader dans la technologie des avions de combat. Malgré cela, la recherche permanente de la maîtrise des performances, de l’efficacité des prix et de la rivalité avec les concurrents étrangers reste cruciale pour que les avions de combat français continuent à s’imposer sur le marché mondial.

Influence médiatique sur les rêves de pilotes de chasse

Ce document se penche sur le sujet fascinant des raisons pour lesquelles les enfants s’imaginent souvent devenir pilotes de chasse. Il explore les nombreux facteurs qui contribuent à cette aspiration, notamment l’attrait du vol, l’influence des médias et des modèles, le sens de l’aventure, le désir d’héroïsme et la quête d’une sauvegarde personnelle et nationale. En connaissant ces motivations, nous comprenons mieux les aspirations et les rêves d’esprits neufs, ainsi que leur effet potentiel sur les futures générations de pilotes.

La fascination pour le vol a captivé l’imagination humaine depuis des temps immémoriaux. C’est un fantasme partagé par de nombreux enfants, dont beaucoup ambitionnent de devenir pilotes de chasse. Les pilotes de chasse symbolisent l’exemple ultime de bravoure, Bae Hawk d’habileté et de précision. Dans cet article, nous explorons les multiples raisons qui sous-tendent cette aspiration, en mettant en lumière les facteurs qui poussent les jeunes esprits à embrasser une telle profession. Le vol est sans conteste un symbole de liberté et de capacité à défier les limites du sol. Les enfants sont naturellement curieux et l’idée de s’élever dans le ciel les attire énormément. L’exaltation pure et simple de défier la gravité et de vivre l’expérience du voyage incite les jeunes esprits à rêver de devenir pilotes d’avions de chasse.

La presse joue un rôle important dans la formation des aspirations des enfants. Les pilotes de chasse ont tendance à être présentés comme des héros dans les films, les jeux et les guides. Ces représentations créent une image romancée des pilotes, suscitant le désir de copier leur bravoure et leur talent. En outre, les enfants sont exposés à des pilotes de chasse qui ont réellement existé et qui leur servent de modèles, que ce soit par le biais de récits traditionnels ou de reportages dans les médias contemporains. Ces influences renforcent l’idée de devenir pilote de chasse dans le cadre d’une quête noble et estimée. Les enfants sont naturellement attirés par le voyage et l’excitation. La nature vivifiante du vol à grande vitesse, l’exécution de manœuvres compliquées et la fascination du combat aérien enflamment leur créativité. L’aspect excitant du métier de pilote de chasse mma attire leur expérience de l’aventure et le désir d’expertiser des scénarios à forte dose d’adrénaline.

Les enfants fantasment souvent sur des actions héroïques et sur le fait de sauver la situation. Les pilotes de chasse sont perçus comme des défenseurs du pays, engagés dans la protection des civils et le maintien de la paix. L’idée d’être un héros, d’avoir un impact substantiel et de défendre leur pays motive les jeunes à aspirer à cette profession. Le besoin humain naturel de se protéger et de protéger les autres joue un rôle crucial dans l’aspiration à devenir aviateur de chasse. La nécessité d’assurer la sécurité de leurs proches et de leurs concitoyens pousse les jeunes enfants à envisager des professions dans l’armée. Les aviateurs de chasse représentent la ligne de front de la défense, inculquant un sentiment de fierté et de responsabilité aux enfants ambitieux qui veulent contribuer à la protection de la nation.

Les enfants qui grandissent dans des environnements qui célèbrent l’aviation, tels que les salons aéronautiques, les musées ou les bases aériennes, sont plus enclins à développer un vif intérêt pour le métier d’aviateur de chasse. Le contact avec les avions, les discussions avec les aviateurs et la démonstration de la détermination et de l’expertise requises dans ce domaine alimentent leur passion pour l’aviation. La recherche d’une carrière de pilote de chasse nécessite souvent une base solide en recherche scientifique, en technologie, en technologie et en mathématiques (STEM). Lorsque les enfants abordent ces matières à l’école, ils peuvent développer une affinité pour les questions liées à l’aviation, ce qui les incite à s’intéresser davantage à la poursuite d’une profession dans le ciel. La stimulation mentale apportée par les aspects technologiques du vol et la nécessité d’étudier en permanence attirent également de nombreux esprits neufs.

Dans certains cas, les enfants aspirent à devenir pilotes de chasse par effet de famille. Le fait de grandir avec des parents, des proches ou des amis proches de la famille qui ont servi dans l’armée ou qui ont fait le tour de l’aviation peut susciter une profonde appréciation et un désir de perpétuer l’héritage. Les histoires, les rencontres et le plaisir associés à ce type de contacts familiaux contribuent à donner à l’enfant l’envie de suivre leurs traces.

La fascination pour le vol et le désir de devenir un aviateur de chasse découlent d’une combinaison de variables, notamment l’attrait des vols aériens, l’influence des médias, la sensation d’aventure, le désir d’héroïsme, la poursuite d’un bouclier personnel et national, l’exposition à la culture de l’aviation, l’éducation Originate et l’influence de la famille. Comprendre ces motivations nous aidera à nous réjouir des rêves et des ambitions de ces jeunes esprits, tout en reconnaissant l’importance de soutenir et d’entretenir leur passion pour l’aviation. En inspirant et en guidant ces futurs individus, nous assurons une génération potentielle de pilotes de chasse compétents et dévoués qui pourront continuer à aider et à protéger leur pays avec reconnaissance et courage.

Le ketchup sera-t-il à nouveau considéré comme un légume?

La semaine dernière, le département de l’Agriculture des États-Unis (USDA) a annoncé des modifications aux règles relatives au déjeuner scolaire, permettant aux écoles de servir du lait aromatisé à faible teneur en matières grasses (lait au chocolat) et assouplissant les exigences en sodium et en grains entiers.
La pleine conformité de certaines dispositions est repoussée à la fin de l’année scolaire 2018-2019, et pour d’autres, jusqu’en 2021.
Ces ajustements ne menacent pas actuellement le cadre général de 2011 de la loi de 2010 sur les enfants en bonne santé et sans faim
Des experts en santé cités dans un rapport de NBC News sur le changement de règle, y compris Nancy Brown, PDG de l’American Heart Association, ont contesté les justifications de l’USDA pour les changements: que les enfants jettent de la nourriture et que certaines écoles ont du mal à se conformer aux normes:
Au cours des cinq dernières années, près de 100% des écoles participantes du pays se sont conformées aux normes mises à jour concernant les repas scolaires. Les enfants de tout le pays ont clairement profité de ces changements », a déclaré Brown dans un communiqué.
Leurs repas contiennent moins de sel, de sucre et de graisses saturées, et ils mangent 16% de légumes en plus et 23% de fruits en plus. Pourquoi l’USDA voudrait-il faire reculer les normes actuelles et inverser cette excellente progression? »
Maintenant – je dois souligner, pour mémoire, mon titre malgré – c’est loin de quand le Reagan USDA a cherché à classer le ketchup comme légume (et pour être honnête, l’agence a reculé, comme discuté ici) . De peur que vous pensiez que je suis indûment hystérique en mentionnant ce problème, je soulignerai que le reclassement des tomates n’a pas été complètement banni, l’Atlantique déclarant aussi récemment qu’en 2011 qu’un projet de loi du Sénat visait à reclasser la pâte de tomates utilisée dans la pizza comme légume. Donc, nous devons très certainement surveiller les produits transformés à base de tomates. Mais je m’égare.
Les problèmes avec les programmes de repas scolaires existent depuis longtemps
Dans une publication croisée publiée par AlterNet au début de l’année,
Un autre échec de la privatisation: 5 choses que vous ne savez pas sur les déjeuners scolaires (mais que vous devriez probablement le faire), Cynthia Lopez a souligné les problèmes avec le programme actuel de repas scolaires, qui sont certainement antérieurs à l’administration Trump. En effet, alors que Proust a rappelé ces fameuses madeleines, les souvenirs de repas scolaires de nombreux Américains ne sont pas aussi agréables.
Le premier problème avant tout dont je me souviens bien – et que Lopez a noté – est la palatabilité de base:
À première vue, la Loi sur les enfants sans faim a beaucoup de sens. Il faut que les repas scolaires soient plus faibles en matières grasses, en calories et en sodium, et contiennent plus de protéines maigres, de fruits et légumes et de grains entiers. Les caractéristiques d’une alimentation bien équilibrée, non? Malheureusement, afin de continuer à répondre aux attentes des élèves, les programmes de repas scolaires servent souvent des versions remaniées des aliments auxquels les élèves étaient habitués (pensez: beignets de grains entiers, sandwich au fromage au fromage servi sur du pain de grains entiers avec du fromage faible en gras et en sel) , et une certaine forme de viande maigre que certains disent non identifiable par de nombreux étudiants). Il est juste de dire que ces aliments réinventés ne rencontrent pas la barre aux yeux des étudiants.
Il me semble évident que ce qui est nécessaire est quelque chose de plus ambitieux que de demander à Big Food de produire des versions revigorées de piliers malsains. L’objectif devrait plutôt être de viser quelque chose de similaire à ce que Jamie Oliver essaie de faire au Royaume-Uni, avec Jamie’s Food Revolution
Les aliments indésirables deviennent des déchets
Mon objectif dans ce court article n’est pas aussi ambitieux et clairvoyant, et est plutôt de me concentrer sur un autre problème: les déchets.
De nouveau à Lopez:
Il s’avère également qu’il y a beaucoup de déchets. La Loi sur les enfants en bonne santé et sans faim exige que les élèves participant aux programmes de repas scolaires aient certains articles sur leurs plateaux avant de quitter la ligne du déjeuner, ce qui signifie que de nombreux fruits et légumes sont jetés à la poubelle, intacts.
Comme je l’ai déjà mentionné, dans mon introduction à l’article de Lopez cité ci-dessus, ma première rencontre avec des déchets de repas scolaires a eu lieu en 1970 ou 1971, lorsque j’ai mené une insurrection parmi les filles de quatrième année à l’école élémentaire d’Allamuchy. Notre objectif – que nous avons atteint – était de pouvoir servir de grattoirs à plateaux, une tâche auparavant réservée aux garçons. Pour une raison quelconque, les étudiants n’étaient pas autorisés à jeter leurs propres déchets dans la poubelle, mais à la place, ils ont remis leurs plateaux à un grattoir à plateaux, qui l’a fait pour eux.
Je ne sais pas pourquoi cela semblait être un problème féministe si brûlant. Pourtant, cela me dérangeait que tout, même une tâche subalterne comme le nettoyage de la cuisine, soit réservé aux garçons.
Et donc, d’après mon expérience en tant que grattoir de plateaux, je me souviens très bien de ce qui arrive aux aliments que les enfants n’aiment pas: ils sont jetés. Pendant mes jours d’Allamuchy, la nourriture la plus détestée qui nous a été servie était les pruneaux en conserve. Personne n’en a mangé. Tout a été rejeté.
Donc, je pense, l’USDA pourrait avoir un point ici.
Non, le réaliste en moi se rend compte que la motivation beaucoup plus probable pour le retard politique est la pression des producteurs alimentaires qui souhaitent continuer à distribuer des aliments malsains aux écoliers, plutôt que de produire des options plus saines. Et, je prévois également, que le retard apparemment modeste de l’USDA ne peut en fait être qu’une première étape, vers un retour en arrière ou un réexamen des normes actuelles.
Permettez-moi de citer de nouveau Lopez:
Pour chaque entreprise offrant des options de repas sains pour les écoles, il y en a plusieurs qui font des banques en commercialisant des options malsaines. Et en fin de compte, si la participation des étudiants n’est pas là, le programme, aussi sain qu’il soit, n’aura pas l’impact souhaité.
Dans cet esprit, il est certainement nécessaire de surveiller de près ce que fait l’USDA, en ce qui concerne non seulement le retard de cette règle, mais également toutes les futures propositions de repas scolaires.
Déchets alimentaires: partager et donner des tables
Plus immédiatement et de manière indépendante, le gaspillage alimentaire est sans aucun doute un problème aussi important maintenant qu’il l’était lorsque j’ai fréquenté l’école primaire d’Allamuchy. Et c’est peut-être encore plus urgent, compte tenu de l’état des décharges et du rôle que jouent les pratiques de gestion des déchets dans la promotion du réchauffement climatique.
Dans cet esprit, j’ai remarqué un rapport sur un programme que certaines écoles de Floride ont récemment adopté, qui non seulement réduit le gaspillage alimentaire, mais aide également à nourrir les affamés. Comme indiqué dans les «tables de partage» de l’école élémentaire, gardez les aliments du déjeuner indésirables à la poubelle:
Alors que Sabrina Agosto, 9 ans, quittait la ligne du déjeuner de son école, elle a laissé tomber son carton de lait sur la table de partage et de donation de la cafétéria, puis a attrapé un yaourt supplémentaire.
Je n’aime pas le lait », a expliqué la quatrième élève de l’école élémentaire Aloma dans le comté d’Orange. Je les aime vraiment », a-t-elle déclaré à propos de ses deux contenants de yogourt aux fraises.
Le déjeuner à Aloma signifie un flux constant de jeunes mettant des objets qu’ils ne veulent pas sur la table et ramassant des extras de choses qu’ils aiment. Un récent après-midi, des contenants de lait et de yogourt, des bâtonnets de fromage enveloppés et des paquets de craquelins, de tranches d’orange et de salade de chou sont venus et ont quitté la table.
Tout ce qui n’est pas ramassé par les étudiants est donné à une église voisine qui donne la nourriture aux sans-abri.
Cet effort de 2 ans vise à éliminer le gaspillage alimentaire et à fournir une nutrition supplémentaire aux enfants affamés de la cafétéria et aux résidents nécessiteux de la communauté.
Aloma est l’une des quelque 20 écoles élémentaires publiques d’Orange qui ont lancé une soi-disant table de partage. Certains, comme Aloma, font don de leur excédent à des œuvres de bienfaisance et d’autres envoient la nourriture – qui ne peut, selon la loi, être réutilisée dans le programme du déjeuner – à la maison avec des étudiants dont les familles ont du mal à joindre les deux bouts.
L’article explique que l’USDA a approuvé l’idée des tables de partage en 2016 en tant que stratégie innovante. » À l’heure actuelle, les élèves qui passent par la ligne du déjeuner doivent prendre et placer certains articles sur leur plateau, y compris un fruit ou un légume. Pourtant, obliger un élève à prendre l’article ne conduit pas nécessairement à le manger.

Comment rester concentré sous pression en F1

La Formule 1 est l’une des activités sportives les plus exigeantes et les plus stimulantes au monde. Il faut un niveau exceptionnel de capacités mentales et physiques, ainsi que des connaissances techniques, pour réussir en tant que pilote. Pour concourir au plus haut niveau, un pilote de Formule 1 doit posséder un ensemble unique de compétences qui sont le fruit de nombreuses années de pratique et de dévouement.

L’une des capacités les plus importantes requises pour devenir un propriétaire de voiture de la Méthode 1 est la condition physique. Les pilotes doivent être capables de résister aux forces G extrêmes qui s’exercent sur leur corps lors d’une course. Ils doivent donc avoir une bonne condition physique cardiovasculaire, stage Formule 1 ainsi que de la force et de l’endurance. Les conducteurs doivent également avoir de bons réflexes et un bon contrôle œil-main, ce qui est nécessaire pour réagir rapidement lorsqu’ils déplacent le moniteur à des vitesses élevées.

Outre sa condition physique, un conducteur de niveau 1 doit avoir une excellente résistance mentale. La capacité à rester concentré et calme dans des conditions de stress extrême est cruciale pour réussir. Les pilotes doivent être capables de faire face aux exigences émotionnelles de ce sport, notamment de prendre des décisions de rupture, de déterminer les risques et de faire face aux revers et aux déceptions. La capacité à rester motivé et à garder un état d’esprit positif face à l’adversité est essentielle pour réussir en Formule 1.

L’expérience technique est également une compétence importante pour un pilote de Formule 1. Il doit avoir une connaissance approfondie de la mécanique de sa voiture et être capable de communiquer efficacement avec son équipe pour effectuer les ajustements qui permettront d’améliorer les performances. Les pilotes doivent également être capables d’analyser les informations provenant des méthodes de télémétrie de leur voiture afin d’identifier les points à améliorer et d’apporter les modifications nécessaires.

Une autre compétence importante pour devenir pilote de Formule 1 est la capacité à se conformer à différentes conditions. Les conditions météorologiques, la surface de la piste et la chaleur peuvent toutes avoir un impact significatif sur les performances d’une voiture, et les pilotes doivent être capables de modifier leur style de conduite et leur stratégie de manière appropriée. La capacité à s’adapter rapidement à des circonstances changeantes est vitale pour réussir en Formule 1.

Enfin, les compétences en matière d’interaction sont cruciales pour un pilote de Formule 1. Il doit être en mesure de communiquer efficacement avec son équipe, qui comprend les ingénieurs, les mécaniciens et les autres membres de l’équipe des stands. Une interaction claire est essentielle pour apporter des ajustements au véhicule et à la technique pendant la compétition, et peut faire la différence entre la victoire et l’abandon.

Un pilote de Formule 1 qui réussit doit posséder un ensemble unique de compétences développées au fil d’années d’exercice et de dévouement. Ces compétences comprennent la condition physique et mentale, l’expertise spécialisée, l’adaptabilité et les aptitudes à la communication. L’expertise naturelle est certes essentielle, mais c’est la combinaison de ces compétences qui permet aux meilleurs propriétaires de voitures de Formule 1 de se démarquer des autres.

Comment profiter d’une bonne nourriture

Le régime pédiatrique réfléchit aux besoins alimentaires des nouveau-nés pour aider au développement et à la croissance, qui comprennent des modifications de la fonctionnalité des organes du corps et de la constitution de l’ensemble du corps. Les sélections des mamans et des papas au sujet de la nourriture et de la fourniture de leurs bébés ont des résultats rapides et à long terme concernant le développement et la croissance à venir des bébés. La maladie transmissible et la maladie de digestion constante pourraient être atténuées avec de très bonnes sélections de régime, par exemple les soins infirmiers. Les bébés allaités ont une meilleure santé générale, donc les choix concernant la nutrition pédiatrique sont des considérations cruciales. Depuis le milieu des années 70, la prévalence de l’obésité et de l’obésité a considérablement augmenté en Amérique. La prévalence du surpoids a triplé chez les enfants et les adolescents, et près de deux sur quelques adultes peuvent être obèses ou en surpoids chronique. Les jeunes obèses deviendront probablement des adultes obèses sans traitement. Les nourrissons consomment de petites quantités de nourriture en même temps, mais ils ne devraient vraiment pas être nourris directement depuis le biberon, car les bactéries sont introduites dans un biberon depuis la bouche de votre bébé. Si des aliments non consommés sont ensuite placés dans le réfrigérateur, des bactéries nocives se développeront probablement et pourraient entraîner de la diarrhée, des vomissements ou d’autres signes et symptômes de maladie d’origine alimentaire. Afin de prévenir les sensibilités alimentaires, certains aliments, y compris le blé entier, l’ovule et le chocolat, doivent être évités avant que l’enfant n’ait atteint l’année civile. Il est essentiel de garantir des habitudes de consommation satisfaisantes, qui ne peuvent être extraites qu’avec du lait, pour maintenir l’équilibre électrolytique et donc le bien-être des nourrissons et des jeunes enfants. L’allaitement maternel présente de nombreux aspects positifs par rapport au biberon. Les produits laitiers de poitrine confèrent aux nourrissons des avantages alimentaires, cours de cuisine immunologiques et émotionnels exceptionnels. Les soins infirmiers sont également beaucoup plus économiques, aucune préparation n’est nécessaire. L’American citizen Dietetic Association préconise d’allaiter seulement pendant quatre à six semaines et d’allaiter avec des aliments de sevrage pendant au moins douze mois. L’American citizen Academy of Pediatrics préconise également l’allaitement, déclarant: «L’allaitement maternel unique est une bonne nutrition et adéquat pour favoriser une croissance et un développement optimaux pendant environ le premier semestre juste après la naissance… Il est recommandé que l’allaitement se poursuive pendant au moins douze mois, et après cela, à condition que cela soit mutuellement préféré. Il existe une variété de préparations pour nourrissons équipées commerciales sur le marché pour la vente sous forme de poudre naturelle, de liquide centré et d’eau pré-diluée. L’American Academy of Pediatrics recommande que la laiterie de vache complète ne soit pas mis à la disposition d’un enfant pendant la 1ère année de vie. En outre, il conseille la préparation à base de métal pour les bébés sur la méthode.

Quand on réalise la fragilité du système

Il y a un signal épinglé pour la porte du jardin de Pékin, un café chic dans le quartier des affaires clé de Hong Kong et un lieu apprécié pour la fermeture des colis des plats et des fêtes d’avocats et de financiers travaillant à proximité: « Avis de fermeture temporaire … Nous avons a maintenant reçu un rapport selon lequel il est prouvé que nos employés sont contaminés par le nouveau coronavirus. » Les magasins de luxe entourant le café sont nus; plusieurs employés sur le lieu de travail qui, lorsqu’ils ont passé leurs heures de déjeuner à acheter ici, se trouvent informés de travailler à domicile pour votre avenir proche. Pendant de nombreuses années, les banquiers, les commerçants et les professionnels du droit ont afflué vers les facilités financières de l’Asie pour participer à une croissance stimulée par le développement financier rapide de la Chine et l’ouverture de ses marchés boursiers. Maintenant, alors que les organismes gouvernementaux éprouvent des difficultés à faire éclater le nouveau virus mortel et à rétablir une assurance publique ouverte, la préoccupation de savoir si l’Extrême-Orient peut répondre aux attentes des personnes qui y ont lié leur fortune apparaît plus grande que la réalité. Les pessimistes répètent que les problèmes pourraient être un catalyseur de l’échec anticipé des marchés financiers du pays plus endettés – un scénario extrême que les régulateurs chinois ont pu éviter encore et encore, même à travers les crises de la dette financière qui ont entraîné les États-Unis et l’Europe en 2008 et 2012. Parmi les observateurs chinois de longue date, l’épidémie ravive un débat beaucoup plus nuancé sur la question de savoir si des étrangers ont surestimé la viabilité financière du pays et également la stabilité gouvernementale du parti communiste au pouvoir. Pour les professionnels de l’investissement, les inquiétudes immédiates sont certainement plus banales: qu’est-ce que cela indique précisément pour les conférences d’acheteurs, la conclusion de contrats et leur travail? «Personne ne veut se rendre à Hong Kong», affirme Thomas Wong, ancien cerveau de Hong Kong et The Far East Investigation and Sales chez Credit History Suisse Group of People AG, selon des acheteurs mondiaux. Wong dirige désormais son propre hedge fund centré sur Hong Kong, Optimas Money. L’organisation a demandé à la majorité de ses 23 travailleurs de travailler à domicile. Avant que Covid-19 ne commence à proclamer des vies, le climat économique de la Chine cherchait à devenir sur des fondations de plus en plus chancelantes. En partie en raison des tensions commerciales avec tous les États-Unis, les marchandises intérieures brutes ont officiellement augmenté de 6,1% en 2019, un rythme que la plupart des pays producteurs apprécieraient, mais qui reflétait la plus faible expansion de la Chine depuis pratiquement trois décennies. Les défaillances du marché obligataire des ménages chinois, aussitôt que rares, ont touché plus de 150 personnes il y a un an, battant l’histoire de 2018 et stimulant le problème que la poursuite de la croissance de la Chine a connu au prix de la stabilité financière. L’année dernière, les régulateurs ont saisi la Baoshang Bank, la première prise de contrôle de la société de prêt en Extrême-Orient par l’État sur deux générations. Pékin cherche à ralentir excessivement le crédit aux entreprises, mais de telles initiatives seront peut-être interrompues pendant que le pays se concentre sur une épidémie qui a coûté la vie à plus de 1 110 personnes, selon des chiffres reconnus. Les entreprises ont déjà fermé leurs portes pour tenter de contenir la propagation du virus pendant les vacances prolongées de 12 mois lunaires. Au Hubei, épicentre de l’épidémie et région commerciale clé, des millions de personnes restent sous contrôle.

Les approvisionnements globaux

Il est urgent que les décideurs reconnaissent pleinement à quel point les indicateurs conventionnels liés au commerce brut sont gravement déficients en tant que repères politiques parce qu’ils ne tiennent pas compte de l’existence des chaînes de valeur mondiales et de leur rôle croissant dans le façonnement de l’économie mondiale. Cette chronique, qui présente un nouveau livre électronique Vox, exhorte les universitaires à commencer à proposer des indicateurs exploitables, systématiquement produits et facilement disponibles.
L’importance des chaînes de valeur mondiales (CVM) n’a cessé d’augmenter au cours des dernières décennies et, comme indiqué dans le Rapport sur l’investissement dans le monde 2013 de la CNUCED, environ 60 % du commerce mondial consiste en des échanges de biens et de services intermédiaires, qui sont ensuite incorporés à différentes étapes. de la production (CNUCED 2013). La prévalence des chaînes de valeur mondiales dans l’économie mondiale a une forte incidence sur le commerce et les marchés du travail, mais aussi sur des questions telles que les inégalités, la pauvreté et l’environnement.
Malgré cela, les mesures qui informent généralement le débat politique, telles que les balances commerciales bilatérales, les parts de marché à l’exportation ou les taux de change réels, continuent d’être utilisées avec peu d’indication des mises en garde qui affectent gravement leur exactitude.
Dans un récent livre électronique VOX, nous avons rassemblé des recherches pertinentes menées par des universitaires directement ou indirectement associés à CompNet, le réseau de recherche sur la compétitivité du système de banques centrales de l’UE. Il y a trois messages que nous voulons partager ici sur les trois parties qui composent le livre électronique – la cartographie des CVM, les impacts des CVM et la dimension au niveau de l’entreprise – laissant le reste aux lecteurs à découvrir.
La cartographie. Comparées à l’échelle internationale, les chaînes de valeur basées dans la zone euro semblent être davantage intégrées à l’échelle mondiale, même si elles conservent toujours un fort caractère régional. Plus précisément, après une contraction temporaire en 2009, la valeur ajoutée étrangère des exportations a fortement augmenté en 2011 (graphique 1). Malgré cette intégration mondiale plus poussée, la majeure partie de la valeur ajoutée étrangère provenait dans une large mesure d’autres pays de la zone euro (graphique 2). De même, comme Los et al. mettez-le au chapitre 2 de l’eBook, les blocs régionaux comme « Factory Europe » sont toujours importants, mais la construction de « Factory World » progresse rapidement.
Les répercussions. L’existence des CVM a des impacts sur plusieurs dimensions économiques. Des indicateurs tels que l’avantage comparatif révélé et les taux de change effectifs réels, par exemple, généralement basés sur les échanges en termes bruts, ne sont plus pleinement pertinents. Le concept de « pays d’origine » est également de plus en plus difficile à appliquer, car les différentes opérations de production sont réparties dans le monde entier. En fait, un pays peut apparaître comme un gros exportateur d’un bien spécifique par rapport à la moyenne mondiale sans avoir apporté beaucoup de valeur ajoutée à sa production. Par conséquent, l’analyse du potentiel d’exportation d’un pays, de sa compétitivité et de l’évolution de son marché du travail doit tenir compte de son intégration dans les CVM. La récente crise mondiale a montré que les CVM affectent l’ampleur et la transmission internationale des chocs macroéconomiques (par exemple Ferrantino et Taglioni 2014). Au cours de cette période, l’effondrement du commerce mondial a été sévère, synchronisé à l’échelle mondiale, et particulièrement prononcé pour les échanges de biens d’équipement et intermédiaires. Plusieurs mécanismes de transmission étaient en jeu, mais les chaînes de valeur mondiales semblent avoir joué un rôle central dans la transmission de ce qui était initialement un choc de la demande sur certains marchés, accompagné d’une grave pénurie de crédit. Le chapitre 8 de l’eBook, de Nagengast et Stehrer, montre que les changements dans la spécialisation verticale ont largement contribué au déclin du commerce à valeur ajoutée pendant la crise, et souligne également l’importance des changements dans la composition de la demande finale. En outre, contrairement aux exportations brutes, les secteurs des services et de la fabrication ont été fortement touchés par l’effondrement du commerce à valeur ajoutée.
La dimension au niveau de l’entreprise. Le fonctionnement et l’organisation des chaînes de valeur mondiales concernent principalement la capacité des entreprises à intégrer de la valeur ajoutée provenant de différentes sources et à vendre leurs produits pour une transformation ultérieure ou la consommation finale, plus qu’au concept d’avantage comparatif appliqué à la dimension agrégée secteur-pays. À l’aide de données au niveau de l’entreprise, Manova constate au chapitre 13 de l’eBook que les considérations financières régissent les décisions d’implantation et de réseau des entreprises multinationales. Ceteris paribus, des institutions financières plus solides dans l’économie d’accueil réduisent les incitations des multinationales à rechercher des investissements étrangers directs pour des motifs horizontaux, et favorisent plutôt les motifs verticaux et de plate-forme d’exportation. La littérature suggère également que les entreprises soumises à des contraintes de crédit pourraient être bloquées dans les phases de faible valeur ajoutée des CVM et incapables de rechercher des opportunités plus rentables, ce qui laisse penser que le renforcement des marchés des capitaux pourrait être une condition préalable importante pour passer à des activités à plus forte valeur ajoutée et plus rentables.
Il est urgent que les décideurs reconnaissent pleinement à quel point les indicateurs conventionnels liés au commerce brut sont gravement déficients en tant que repères politiques parce qu’ils ne tiennent pas compte de l’existence des CVM et de leur rôle croissant dans le façonnement de l’économie mondiale. Les universitaires et les universitaires sont également bien avisés d’arrêter de se quereller sur les définitions et de commencer à proposer des indicateurs alternatifs exploitables, systématiquement produits et facilement disponibles. L’eBook présenté dans cette chronique tente de combler cette lacune.

Définir une alimentation saine

En tant que diététiste autorisée, mon point de vue sur l’alimentation saine est assez simple: il n’y en a pas. Avant de décider de créer dans ma table d’accréditation, permettez-moi de vous expliquer. Ce que j’indique, c’est que la mesure dans laquelle un aliment peut commercialiser le bien-être est essentiellement influencée par la fonction qu’elle remplit dans le régime alimentaire général d’une personne. La consommation d’un accompagnement de saumon avec un repas présente-t-elle des avantages pour la santé? Totalement. Mais lorsque je ne consommais que du saumon rouge au petit-déjeuner, au repas et au dîner, je n’obtiendrais qu’une fraction des vitamines et des minéraux dont mon corps a besoin. C’est une manière différente de discuter d’une alimentation saine, je comprends, et vous me capturerez en m’éloignant de ce dogme de temps en temps. Cependant, j’essaie de persuader les gens de prêter attention aux régimes alimentaires sains – ceux-ci contenant une variété de produits alimentaires (dont la majorité sont peu transformés, ou pourraient être de nature assez reconnaissable) dans des parties qui répondent à leurs envies de nourriture, cours de cuisine puis sous des formes qui ils apprécient. C’est un aspect de la cause J’étais diététiste en santé publique: je crois qu’il est essentiel de parler davantage de la nourriture que de la somme de ses vitamines et de ses minéraux. Cela ne concerne pas seulement les discussions sur la façon dont nous ingérons les aliments, mais également sur la façon dont nous les augmentons, les distribuons et en fournissons (ou limitons) leur utilisation. De toute évidence, une fois que la Food and Drug Management (FDA) a livré les professionnels de la santé, les représentants d’entreprises, les agences et les supporters les uns avec les autres jeudi dernier pour aider à déterminer l’expression «saine» pour les étiquettes de repas, j’ai compris que nous étions prêts pour difficile. Point de vue personnel éloigné, la réglementation des aliments est certainement un travail complexe. Un peu de bilan: la Food and Drug Administration a lancé une demande de remarques en septembre. 2016, à la suite d’une demande résidente soumise par l’intermédiaire des producteurs de barres de tri contactant pour des changements basés sur la recherche scientifique à la source de la teneur en nourriture du matériel allégué «sain». Une pièce maîtresse de la pétition Sort est l’incohérence entre les recommandations diététiques, qui favorisent la consommation d’aliments comme les amandes et les légumineuses, et les restrictions de l’administration des aliments et des médicaments sur la teneur totale en graisse corporelle empêchant ces mêmes aliments d’avoir l’étiquette «saine». (Les recherches scientifiques existantes sur l’alimentation nous informent que la qualité supérieure est plus importante que la quantité en ce qui concerne l’excès de graisse nutritionnelle.) Alors que les aliments riches en graisses et favorisant le bien-être comme les noix, le saumon et les avocats ont aimé être mis en lumière par le grand public, il y a ont été une multitude de questions dans la salle. Par exemple, les produits «sains» devraient-ils dépendre des parties de la nourriture, de la source de nourriture, ou de chacun? En quelles sommes? La nutrition ajoutée aux aliments préparés s’additionnerait-elle? Avez-vous pensé aux phytonutriments, comme le bêta-carotène présent dans les haricots verts ou encore le lycopène dans les tomates? Même si la discussion porte de manière significative sur plus de, il semble y avoir un consensus de base sur plusieurs détails. D’abord et avant tout, la définition actuelle de «sain» dépend d’une science obsolète et doit également faire l’objet d’une mise à jour. Deuxièmement, de nouvelles normes d’utilisation de l’expression «sain» sur les étiquettes des aliments doivent prendre en considération à la fois les aliments et la nutrition. Et troisièmement, les nouveaux critères doivent s’aligner le plus étroitement possible avec toutes les informations et suggestions contenues dans les Suggestions nutritionnelles 2015-2020. La période de commentaires du public continue d’être ouverte jusqu’au 26 avril, date à laquelle l’administration fédérale des médicaments prendra le temps d’examiner et de répondre aux remarques juste avant d’afficher un principe proposé. Deux problèmes que nous allons surveiller vont des seuils que l’Administration des aliments et médicaments pourrait déterminer pour les degrés autorisés de sel et de glucose ajouté. (Le concept existant d’emballages «sains» a des limites moyennes dans le passé et est silencieux dans la deuxième option.) Ces nutriments sont d’un intérêt particulier car certains professionnels de la santé et scientifiques peuvent reconnaître que nous consommons une quantité excessive de eux, nous ne sommes pas vraiment parvenus à nous prononcer sur ce à quoi devraient ressembler les limites pour une collation donnée ou une recette bien préparée. Pour savoir ce qui devrait être inclus dans les nouvelles règles, qui incluent des critères basés sur les aliments, des distributions complètes de graisses autorisées et des limitations de glucose supplémentaires, lisez la transcription dans notre commentaire oral ci-dessous. J’adhérerai à plus d’informations et de commentaires, car la période de l’opinion publique attire certains presque – restez à l’écoute. Dans un premier temps, le terme «sain» doit être caractérisé en fonction des produits alimentaires, pas seulement de la nutrition. Les repas de promotion du bien-être sont ceux recommandés par les suggestions de régime dans le cadre d’une alimentation saine et comprennent des légumes, des fruits, des produits à base de grains entiers, des fruits de mer, des œufs, des légumineuses et des pois, des graines et des noix, des produits laitiers, ainsi que de la viande et de la volaille. Les repas d’une ou de plusieurs des équipes mentionnées précédemment doivent comprendre une proportion considérable d’un objet repas pour répondre aux normes d’utilisation du terme «sain». Certains produits alimentaires peuvent faire l’objet d’une exception à l’étiquetage de base «santé» en raison de risques sanitaires probants liés à une consommation excessive, qui comprend les jus de fruits frais, les viandes diverses hautement transformées et les steaks. Deuxièmement, les circonstances liées à l’excès de graisse totale, au mauvais cholestérol, aux sucres supplémentaires et au sel devraient être examinées en fonction de la preuve technologique actuelle. Les conditions applicables aux articles contenant de la graisse corporelle complète devraient être révisées pour offrir des aliments différents de ceux qui sont globalement favorables à la santé, avec une distribution complète des excès de graisse favorable d’acides gras à prédominance mono ou polyinsaturés. Cela démontre les données médicales existantes sur les avantages pour la santé de remplacer les graisses malsaines par des graisses corporelles insaturées, telles que la diminution du taux sanguin du cholestérol global, la diminution du cholestérol lipoprotéique à faible occurrence et la réduction du risque d’activités cardiovasculaires et de décès associés. Compte tenu des percées dans la compréhension du rôle du taux de cholestérol nutritionnel dans le danger de condition persistante, les circonstances associées au cholestérol doivent être éliminées. Ceci est constant avec toutes les recommandations nutritionnelles 2015-2020 et reflète la recherche diététique existante. Il est essentiel que des normes à jour établissent des limites sur les matières à teneur supplémentaire en glucose. Des études ont montré que plus de 70% des habitants utilisent ce nutriment de manière excessive, augmentant le risque de surpoids, de diabète de type 2 et de certaines formes de malignité chez les adultes. Des limites devraient être établies pour aider les Américains à limiter l’ingestion de sucres supplémentaires à moins de dix pour cent de l’apport calorique quotidien, comme indiqué dans les directives diététiques. Enfin, les quantités de sel autorisées doivent être réduites davantage pour aider à protéger contre les conditions à long terme. Les Américains ingèrent environ 3440 mg de sodium par jour, dont 75 pour cent provenant de la malbouffe. Les aliments définis comme «sains» doivent contenir des niveaux de sel pour aider à répondre aux recommandations de sel quotidiennes de 2 300 mg et minimiser les risques d’hypertension artérielle, de problèmes cardiaques et d’événement cérébrovasculaire.

Une conférence sur le futur de l’automobile

Les automobiles électriques (VE) sont une partie importante des méthodes par lesquelles nous réduirons les émissions qui transforment le climat, la pollution atmosphérique et la consommation de pétrole. Sont-ils le seul moyen de réduire la pollution des transports individuels ? Bien sûr que non. Les véhicules électriques sont essentiels, mais nous devons également faire preuve d’intelligence dans l’utilisation de la conception urbaine, des transports et de la mobilité partagée pour réduire la quantité de déplacements provenant de tous les véhicules. Néanmoins, un récent article sur les informations et le document mondial des États-Unis place les véhicules électriques dans une fausse concurrence avec ces autres techniques, tout en répétant les mythes sur les impacts environnementaux des véhicules électriques. En règle générale, les véhicules électriques sur la route produisent aujourd’hui moins de polluants liés aux changements climatiques que le véhicule à essence neuf moyen. Les émissions dépendent de l’endroit où le véhicule électrique est utilisé aux États-Unis, simplement parce que la production d’électricité provient de différentes ressources en fonction de la région. Tout simplement parce que la plupart des véhicules électriques ont été vendus dans des régions où l’énergie est plus propre (comme la Californie), les véhicules électriques utilisés de nos jours sont généralement responsables de moins d’émissions que n’importe quelle voiture à essence. Selon les ventes réalisées jusqu’en 2016, l’utilisation du véhicule électrique moyen est responsable d’émissions de réchauffement climatique comparables à celles d’un véhicule à essence de 73 MPG. Les véhicules électriques sont toujours responsables de moins d’émissions de réchauffement climatique, même si vous pensez à la puissance et aux matériaux supplémentaires nécessaires à la fabrication des batteries qui alimentent les véhicules électriques. Nous avons constaté que ces émissions supplémentaires sont compensées rapidement par des économies tout au long de l’utilisation ; en moyenne après 6 à 18 mois d’utilisation. Il y a aussi d’autres problèmes mentionnés dans le déménagement dans le You.S. Message d’actualité, tel que l’effet de l’exploration des matériaux non cuits de la batterie. Mais les effets négatifs de l’extraction des matières premières sont principalement dus à des règles laxistes et peuvent être traités via un plan et une obligation commerciale bien meilleurs. Pour les composants tels que le cobalt et les métaux des terres rares, toutes les entreprises clientes de produits de haute technologie doivent s’assurer qu’elles disposent de magasins de fournitures respectueux de l’environnement qui protègent également les droits légaux et la santé des personnes influencées par l’exploration. C’est aussi réel pour Apple et Samsung que pour les producteurs de véhicules électriques. Il y a eu de bons développements de la part des fournisseurs de packs de batteries et des entreprises technologiques, mais ils peuvent et doivent faire plus pour assurer une création d’énergie de batterie responsable. Simultanément, nous devrions également considérer les effets négatifs de la production d’essence, des violations des droits de l’homme aux catastrophes environnementales massives lors de l’élimination des huiles essentielles, en passant par les dommages inévitables de la pollution de l’atmosphère résultant de l’amélioration et de la combustion du gaz dans nos véhicules. Tous nos moyens de transport personnels – gaz, diesel, biocarburants ou énergie électrique – peuvent être plus propres si les producteurs de carburant sont tenus responsables de réduire leur pollution atmosphérique. Une autre attaque contre les véhicules électriques dans le poste de presse américain est le fait que les véhicules électriques ne représentent qu’une petite fraction des véhicules sur les routes du pays aujourd’hui. C’est correct, mais ce n’est pas une bonne raison pour se transformer à nouveau. Les tout premiers véhicules électriques en vrac n’ont continué à être commercialisés qu’à la fin de 2010. À partir de ces deux modèles (Chevrolet Volt et Nissan LEAF), le marché s’est développé pour une trentaine de modèles de véhicules électriques disponibles aujourd’hui. Néanmoins, un certain nombre de ces véhicules électriques ne sont pas vendus à travers le pays et ne sont donc pas promus avec succès. Dans un seul cas important, Fiat Chrysler a pris la décision de ne même pas permettre aux clients en dehors de la Californie de se rendre compte que son nouveau monospace est disponible dans une version connect-in. Néanmoins, les ventes de véhicules électriques augmentent et franchissent de nouveaux jalons, en particulier dans les endroits dotés de réglementations puissantes et de programmes de motivation comme Ca, où les producteurs ont également consacré beaucoup plus de travail à la vente de véhicules électriques (par rapport aux autres États-Unis). les ventes en Californie représentaient près de 5 % de toutes les ventes de voitures neuves et, pour certains producteurs, elles étaient plus élevées. Par exemple, pour la marque Chevrolet de Basic Motors, les voitures connectées représentaient plus de 15 % des nouvelles ventes au cours des trois premiers mois de 2017. Le fait d’offrir aux acheteurs de véhicules neufs beaucoup plus d’options pour choisir un véhicule connecté contribuera simplement à rendre le marché se développer. Et il est important que le marché se développe le plus rapidement possible. Tout simplement parce que les véhicules restent fréquemment sur la route plus d’une décennie, il est essentiel d’accélérer le passage du pétrole à l’électricité. L’avenir du voyage est électrique. Ce n’est pas seulement notre point de vue chez UCS, les constructeurs automobiles et les gouvernements comprennent que les véhicules électriques seraient à long terme. Les PDG de Ford et VW continuent de documenter les prévisions de ventes de véhicules électriques en grande quantité. Et la France, la Norvège et l’Inde font partie des pays qui se sont fixé des objectifs impressionnants pour passer aux véhicules électriques. Mais les véhicules électriques à eux seuls ne suffisent pas à satisfaire nos objectifs environnementaux. Il est essentiel de diminuer également l’impact des transports en réduisant le nombre de kilomètres parcourus, même avec les voitures électriques. Les transports discutés, qu’il s’agisse de transports en commun, de covoiturage ou de nouvelles solutions de covoiturage, peuvent également être importants pour réduire considérablement la pollution. Mais ce n’est en aucun cas chez les concurrents avec des véhicules électriques. Au lieu de cela, les véhicules électriques soutiennent un certain nombre de ces choix de transport discutés.